Mise à jour de la rubrique « On Fire » avec Guillaume Vizade qui a rejoint le club cette année.

 

Côté terrain


Tes débuts au basket : je suis venu au basket par le biais du catéchisme, quand j’étais enfant de coeur mon ami Pascal m’a entraîné dans la salle de basket, nous avions 11 ans, je n’ai pas cessé depuis. Cela fait donc 20 ans que je pratique. 
Un joueur : Michael Jordan pour la légende, Kobe Bryant pour l’actuel, Kevin Durant pour le futur. 
Une équipe : en NBA Los Angeles, en Euroleague les équipes dirigées par Obradovic, en France Nanterre et Dijon.  
Ton geste ou ton action préférée : L’extra passe décisive
Quel entraineur es-tu ? : passionné par la dynamique de groupe de l’équipe, l’effort collectif, la cohésion, les prises de responsabilité dans le collectif. J’essaye de faire partager cette vision au quotidien.  
Qualités : humaniste.
Défaut : encore quelques moments de colère contre le corps arbitral .
Ton meilleur souvenir de basketteur : un match retour en cadets France où on remonte un handicap de 28 points pour se qualifier pour le final four avec une victoire de ….29 points. 
Ton pire souvenir : la défaite contre Blois en NM1, après avoir mené de 17 points en première période, qui scelle notre sort en championnat. 
Ta marque de baskets : une paire historique air Jordan Bred rétro XI.
Un numéro de maillot et son histoire : j’ai porté le numéro 5 toute ma formation puis arrivé à Vic le Comte c’était le numéro de Dieye Papa Abdou, du coup il était hors de question de le revêtir, alors je me suis dit: « je vais prendre le 10 comme ça j’aurai une excuse pour prendre deux fois plus de shoots ».
Un adversaire : nous même, c’est souvent ce match là qu’on perd le plus souvent. 
Une anecdote : je jouais au basket chaque jour quand j’étais plus jeune, à tous on collectait dix francs et on achetait une bouteille de limonade et un cake aux fruits. Après avoir joué durant 4 heures, c’était une récompense et surtout un moment de partage et d’échange qui a construit mes plus belles amitiés. 
Les arbitres : j’aime beaucoup l’arbitrage, mais quand je siffle à l’entraînement je suis en général beaucoup plus permissif. En match je déteste que l’intégrité des joueurs ne soit pas protégée ou que les incohérences se succèdent et s’empilent. C’est une belle fonction qui doit permettre au jeu de bien se dérouler et de prévenir plutôt que de réprimer. 
Tes objectifs pour cette saison : terminer le plus haut possible avec un état d’esprit irréprochable et un bon ratio points encaissés/ points marqués. 
 Tes objectifs personnels : être connecté avec l’équipe, apporter des solutions, vivre quelque chose qui a une valeur partagée par tous.
Un autre sport : mon sport c’est le basket après je regarde tous les autres sports, plus spécialement le football et le tennis. 
Pourquoi CLERMONT BASKET ? : j’aime les valeurs qui se dégagent du club, sa vie associative, ses bénévoles actifs, et le fait d’avoir la meilleure équipe masculine associative de notre département. C’est une fierté de faire partie de cette équipe au sens large notamment avec des personnalités comme Jean-François, Franck et Ludo que je connais depuis longtemps maintenant. 

Côté jardin


Un surnom : Guimez ( c’est un dérivé de gomez et tavares, quand je faisais des rondes de nuit avec un certain davares pour les initiés)
Ton rêve de gosse : La NBA, puis la proA, puis…. j’ai grandi donc je me suis mis à rêver de voyages et d’aventures. 
Ta plus grosse bêtise à l’école : d’avoir enlevé délicatement deux pages de mon carnet de note pour effacer les traces d’un mot pour des bavardages, évidemment même si j’avais soigneusement refait les numéros, à la fin de l’année, il manquait un mois. Cela m’a appris à assumer mes responsabilités et j’en remercie mes parents. Sinon je suis fier de ne jamais avoir été collé.
Quel homme es-tu ? (qualités, défauts, particularités) : j‘essaye d’être sympa et agréable, même si je souris surtout aux gens que je connais. Je suis extrêmement têtu par moment et je peux m’emporter quand les choses me tiennent à coeur. Ma particularité c’est que tout le monde me dit que j’ai un accent depuis que je suis petit (canadien, serbe, espagnol… j’ai tout entendu)
Ton plat préféré : en dehors de chez moi, car ma mère cuisine divinement bien.  Je dirais le Yassa, un plat sénégalais, j’en raffole. 
Ta boisson préférée : un jus d’orange bien frais et naturel 
Ton dernier CD : un côté rap, la réédition de l’album de BOOBA « FUTUR » et côté jazz Miles Davis « a kind of blue » éternel.
Ton dernier film : 12 years a slave:  insoutenable 
Ton dernier livre : « quand la liberté des salariés fait le succès des entreprises » Isaac Getz et Brian M.Carney
Ton objet high-tech : mon iphone
Une destination de rêve : Jerusalem
Un homme que tu aimerais rencontrer : Muhammad Yunus, économiste indien, prix nobel de la paix en 2006. 
Une femme : Marguerite Barankitse dite Maggy, qui crée le village de maison shalom au burundi pour recueillir les enfants orphelins Rwandais durant le génocide. 
Une devise ou une expression : si tu ne crois pas en toi personne ne le fera. 
 Ce qui te fait craquer : les tartes à la fraise et les fossettes.
Ce que tu n’aimes pas : l’alcool et le tabac.
Un don que tu souhaiterais posséder : guérisseur (encore plus des âmes que du corps)
Un rêve pour la planète : la joie 
Une décision politique : la tolérance zéro de la misère sociale (logement, nourriture, éducation, action civiques et effort collectif pour tous) et la transparence de l’utilisation de l’argent public. 
Toi dans 20 ans : consultant des organisations ou dirigeant d’entreprise. 
Un dernier mot : « Freedom » en hommage à Nelson Mandela qui nous a quittés aujourd’hui (l’interview date du 5 décembre). 
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